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vendredi 6 novembre 2015

Blackmarket for Useful Knowledge and Non-Knowledge n°18 // 21 novemnre 2015 // Musée de l'Homme // Devenir terriens

 Dialogues et exercices pour rétrécir et étendre l’humain.


Devenir terriens : 150 dialogues et exercices pour y arriver. Participez à une conversation de 30 min en tête-à-tête avec unE expertE. J'y serais pour deux conversations autour de Nils Holgersson (22h30 à 23h00 et de 23h05 à 23h35)


Nils Holgersson : vu du ciel sur l’anthropocène // from the sky on the anthropocene


  • Pour pouvoir raconter l’histoire de la nature et de la culture suédoise, Selma Lagerlöf a rétréci son héros jusqu’à la taille d’un gnome, élargissant ainsi sa vision, avant de l’installer sur le dos d'une oie. À l’aide d’un jeu de cartes montrant des extraits et des illustrations, Rachel Easterman-Ulmann revient sur certains passages clés et certaines idées issues du célèbre livre pour enfants.
In order to be able to tell the (his)story of the nature and culture of Sweden, Selma Lagerlöf shrunk her hero to the size of a dwarf, consequently expanding his vision, before putting him on the back of a goose. Using a deck of cards with text excerpts and illustrations, Rachel Easterman-Ulmann retells key passages and ideas of the world-famous children's book.



Biographie
  • Rachel Easterman-Ulmann est artiste plasticienne et écrivaine. Ses vidéos, installations et photographies s’intéressent au devenir humain, à travers le sensible. Elle travaille actuellement sur un livre pour enfants intitulé Des histoires de lapins qui racontent des histoires de carottes où se mêlent les amours plurielles, les questions queers et l'écoféminisme.
Rachel Easterman-Ulmann is a visual artist and writer. Her videos, installations and photographic work focus on human evolution in the world as perceived by the senses. Currently, she is working on a children's book entitled  “Rabbit stories which tells stories of carrot”), which deals with issues such as plural loves, queers issues and ecofeminism.



dimanche 1 mars 2009

Par Nakahara Chûya - Chanson du bélier - IV

Mais , oh mon coeur si absolument triste
Nuit après nuit, dans cette chambre solitaire
Je pense, à mes pensées sans pensée accompagnement
Monotone de mon âme si humble ...

Qu'on entende au moins le sifflement d'un train
Et je penserais aux départs, je penserais aux jour de mon enfance
Mais non ! oh non ! en moi, nulle autre enfance, nul autre départ
Autre que mes seuls rêves de départ et d'enfance...

Et mon âme qui pense, ses pensées sans pensée
S'est renfermée, comme un coffre moisi
Lèvres pâles, et joues sèches
Se gonflent encore de ce silence, atroce...

Ah, qu'elle est lamentable la tristesse
Que seule rend supportable la force de l'habitude, et moi
Sans que je m'en aperçoive, étranges, inattendues
Me viennent des larmes, qui ne sont plus celle d'aucun amour...